samedi 15 septembre 2018

Une visite fantastique

Des plumes, des feutres de toutes les couleurs, des paillettes, des rubans, des fleurs et des milliers d'accessoires rangés sur les étagères et dans les tiroirs de l'atelier.
La modiste crée des chapeaux extraordinaires, ou tout simples, grâce à quelques outils et beaucoup de vapeur.
Nous avons passé un moment inoubliable dans son atelier, à écouter Ariane Delabays nous raconter l'histoire des chapeaux et la vie des modistes.
Elle nous a montré ses chapeaux magiques, créés pour illustrer les contes que la Compagnie A3 présente dans les écoles lausannoises.
Un grand merci à Ariane pour son accueil chaleureux !

samedi 8 septembre 2018

Un petit ciné, ça vous tente ?

Ciné-Doc propose des films documentaires dans trois communes : Orbe, Oron et Le Sentier.

Chaque troisième semaine du mois entre septembre et mai, un film est montré dans chacune des trois salles. La projection est suivie d'une discussion en présence d'un invité.

Au programme de ce début de saison :
- Nul homme n'est une île, en septembre
- Les dames, en octobre
- La nuit des charbonniers, en novembre
- Los fantasmas del Caribe, en décembre




Une Majuscule est tentée par les deux premiers films et vous propose de l'accompagner aux séances d'Orbe :

- Nul homme n'est une île, le jeudi 20 septembre à 19h30, à Orbe. La projection sera suivie d'une discussion avec les associations Ferme du Joran et Panier des 3 Vallons.
Le film est un voyage en Europe, de la Méditerranée aux Alpes, où l’on découvre des femmes et des hommes qui travaillent à faire vivre localement l’esprit de la démocratie. Des agriculteurs-trices d’une coopérative en Sicile aux architectes, artisans et élus des Alpes suisses, tous font de la politique à partir de leur travail et pensent à un destin commun.





- Les dames, en octobre (date à confirmer) : le film évoque le combat contre la solitude de cinq femmes, à un âge où les hommes ont déserté leur paysage affectif. L’une remplit ses journées d’activités, l’autre se remet de la perte de son mari, certaines se ressourcent dans la nature… Et l’amour ? Les dames y croient toujours, bien sûr, il n’est jamais trop tard pour rêver.








Si vous souhaitez l'accompagner à l'une, l'autre ou les deux projections,  contactez les Majuscules par mail : lesmajuscules50@gmail.com ou appelez Luce.

Jeudi dernier

Jeudi dernier, c'était la rentrée pour les Majuscules.

Nous nous sommes retrouvées, comme d'habitude, au café.

La liste d' inscriptions pour la visite de l'atelier d'Ariane Delabays est complète... 9 personnes, un beau succès ! Nous nous réjouissons de rencontrer cette créatrice  !

Une Majuscule a profité de l'été pour faire un peu de lecture et nous a apporté ses trouvailles :

- La Facture, de Jonas Karlsson : 5 700 000 couronnes (à peu près 600 000 euros) : c’est le montant de la facture qu’un beau jour un organisme de recouvrement adresse à un modeste employé. Esseulé depuis la mort de ses parents, négligé par ses amis qui ont charge de famille et mènent carrière, ce célibataire se contente d’une vie aussi paisible qu’insignifiante. Mais voilà que l’Administration a décidé d’une taxe sur… le bonheur. Or, si modeste que soit l’existence de notre homme, des petits riens suffisent à le réjouir et font de lui, pour ce nouvel impôt, un contribuable de choix.

et

- Bakhita, de Véronique Olmi : La biographie de Bakhita, née dans un village du Darfour vers 1868 et enlevé à 7 ans par des négriers. Passant de maître en maître, tous aussi cruels et impitoyables, elle finit par être placée chez les sœurs de la charité en Italie. Elle demande à y être baptisée puis à être religieuse. Morte en 1947, elle a été canonisée en 2000.